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> Grand Corps Malade : paroles des chansons de Fabien - Son site : http://www.grandcorpsmalade.com/
Refrain de la chanson  "Toucher l'instant" :
C'est tout sauf une légende, on espère juste toucher l'instant
Les quelques secondes du poète qui échappent à l'espace-temps
Les moments rares et irréels que la quiétude inonde
Rouda, n'oublie jamais notre parole du bout du monde

Lundi 28 avril

Petite promenade enfin printanière!
L'air est transparent
les couleurs délicates
j'ai voulu fixer l'instant...

Orangerie 26 avril 2008 © Monalyz

Quelques dictons d'avril... 

Avril, un de bon sur mil !
Au jour
de sainte-Prudence, s'il fait du vent les moutons dansent.
Quand arrive la saint-Fulbert, dans la campagne tout est vert.
S'il gèle à la saint-Stanislas, on aura deux jours de glace.
Ala saint-Jules, mauvais temps n'est pas installé pour longtemps.
A la sainte-Léonide, chaque blé pousse rapide.
Tel temps à la saint-Anselme, tel temps pendant une semaine
Pluie le jour de sainte-Opportune, ni cerises, ni prunes.
Quand il pleut le jour de la saint-Georges, sur cent cerises on en a quatorze.
A la sainte-Valérie, souvent le soleil luit.
La pluie le jour de saint-Robert, de bon vin remplira ton verre.
Quand Avril est froid et pluvieux, les moissons n'en vont que mieux.
Avril le doux, quand il se fâche, le pire de tous.
Au mois d'avril, tout oiseau fait son nid,
hormis la caille et la perdrix,
et le rossignol joli.
Avril fait la fleur, mai en a les honneurs.
Mars venteux et avril pluvieux, font mai gai et gracieux.
Avril entrant comme un agneau, s'en va comme un taureau.

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Depuis hier dimanche 13

je travaille sur les pages un peu en friche :


- la cathédrale de Strasbourg :
une "Lady" de 600 ans
Seriez-vous capable de grimper 

avec enthousiasme
et d'une traite
toutes les marches
de la tour jusqu'à la flèche

comme Goethe?


-  la gastronomie alsacienne


- l'historique de ma ville


-  la page Grèce 

le Péloponnèse :
Ageranos

>> encore en travaux...!


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Dimanche 13 avril

Le jet d'eau a enfin rejailli...

Orangerie 13 avril 2008 © Monalyz

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Samedi 12 avril

On n'y croyait plus... au soleil !
Une tulipe m'est apparue, diaphane, vêtue de lumière


La tulipe rose - Avril 2008 © Monalyz

Jeudi 10 avril

Les mots d'un poète musicien et chanteur

qui n'est encore qu'à ses débuts!


Fabien
ou "Grand Corps Malade"

 qui a été mon grand coup de coeur en mars 2007
comme je l'ai écrit hier
 

Site : http://www.grandcorpsmalade.com/ecouter.htm

Il a pris "le bon train" ...  
ce qui lui a inspiré cette chanson d'amour :

"Comme une évidence"

 Paroles

En fait, ça fait un moment que se croisent dans ma tête
Des mots et des douceurs qui pourraient faire un texte
Un truc un peu différent, je crois que ça parlerait d'elle
Faut avouer que dans mon quotidien, elle a mis un beau bordel


Mais j'ai un gros souci, j'ai peur que mes potes se marrent
Qu'ils me disent que je m'affiche, qu'ils me traitent de canard
C'est cette pudeur misogyne, croire que la fierté part en fumée
Quand t'ouvres un peu ton coeur, mais moi cette fois je veux assumer


J'ai un autre problème, il est peut-être encore plus lourd
C'est que t'as pas droit à l'erreur quand t'écris un texte d'amour
Moi, les trois prochains couplets, je voudrais que ça soit des bombes
Si j'écris un texte sur elle, je voudrais que ça soit le plus beau du monde


Elle mérite pas un texte moyen, j'ai la pression, ça craint
Fini de faire l'intéressant, avec mes voyages en train
Là c'est loin d'être évident, moi je sais pas comment on fait
Pour décrire ses sentiments, quand on vit avec une fée


Il faut avouer qu'elle a des yeux, ils sont même pas homologués
Des fois ils sont verts, des fois jaunes, je crois même que la nuit ils sont violets
Quand je m'enfonce dans son regard, je perds le la je n'touche plus le sol
Je me perds profondément, et j'oublie exprès ma boussole


Depuis que je la connais, je ressens des trucs hallucinants
Je me dis souvent que j'ai eu de la chance de lui avoir plu, sinon
J'aurais jamai su qu'un rire pouvait arrêter la Terre de tourner
J'aurais jamais su qu'un regard pouvait habiller mes journées


Je comprends pas tout ce qui se passe, y a plein de trucs incohérents
Depuis qu'elle est là rien n'a changé, mais tout est différent
Elle m'apporte trop de désordre, et tellement de stabilité
Ce que je préfère c'est sa force, mais le mieux c'est sa fragilité


Ce n'est pas un texte de plus, ce n'est pas juste un poème
Parfois elle aime mes mots, mais cette fois c'est elle que mes mots aiment
Je l'ai dans la tête comme une mélodie, alors mes envies dansent

Dans notre histoire rien n'est écrit, mais tout sonne comme une évidence


J'ai redécouvert comme ça réchauffe d'avoir des sentiments
Mais si tu me dis que c'est beaucoup mieux de vivre sans, tu mens
Alors je les mets en mots et tant pis si mes potes me chambrent
Moi je m'en fous, chez moi y a une sirène qui dort dans ma chambre


J'avais une vie de chat sauvage, elle l'a réduite en cendres
J'ai découvert un bonheur tout simple, c'est juste qu'on aime être ensemble
On ne calcule pas les démons du passé, on n'a pas peur d'eux
Moi si un jour j'suis un couple, je voudrais être nous deux


Y a des sourires et des soupires, y a des fou rires à en mourir
On peut s'ouvrir et s'en rougir, déjà se nourrir de nos souvenirs
Les pièges de l'avenir nous attendent, mais on n'a pas peur d'eux
Moi si un jour j'suis un couple, je voudrais être nous deux


Et si c'est vrai que les mots sont la voix de l'émotion
Les miens prennent la parole pour nous montrer sa direction
J'ai quitté le quai pour un train spécial, un TGV palace
On roule à 1000km/h, au dessus de la mer, en première classe


Et si c'est vrai que les mots sont la voix de l'émotion
Les miens prennent la parole pour nous montrer sa direction
J'ai quitté le quai pour un train spécial, un TGV palace
On roule à 1000 km/h, au dessus de la mer, en première classe.

Son deuxième album
allez vite l'acheter!



Mercredi 9 avril


En mars 2007, j'ai découvert Grand Corps Malade,
de son prénom Fabien
cela a été mon gros coup de coeur.


Il chantait "Rencontres" (album "Midi 20")
 de sa voix grave et prenante

Fabien est un virtuose des mots, doué d'une voix grave exceptionnelle.

Poète des temps modernes, il bouscule la poésie classique
depuis mars dernier, il a fait son chemin....

C'est un jour,  à "Midi 20'
qu'un accident a brisé sa vie et ses rêves.

Entouré de quelques amis il s'est reconstruit et s'est lancé dans la chanson :

le "Slam" : il nous vient de Chicago.

allez sur sa page : http://www.grandcorpsmalade.com/

 Paroles de la chanson : "Rencontres"

C'était sur une grande route, j'marchais là d'puis des jours
Voire des s'maines  ou des mois, j'marchais là d'puis toujours
Une route pleine de virages, des trajectoires qui dévient
Un chemin unpeu bizarre un peu tordu comme la vie

Ces personnages que j'ai croisés c'est pas vraiment des êtres humains
Tu peux parler avec eux mais jamais leur serrer la main


Tout d'abord sur mon parcours j'ai rencontré l'innocence
Un être doux, très gentil mais qui manque un peu d'expérience
On a marché un p'tit moment, moins longtemps que c'que j'aurais cru
J'ai rencontré d'autres éléments et l'innocence a disparu


Un moment sur mon ch'min, j'ai rencontré le sport
Un mec physique, un peu grande gueule mais auprès d'qui tu d'viens fort
Pour des raisons techniques on a du s'quitter c'était dur
Mais finalement c'est bien comme ça, puis l'sport ça donne des courbatures


J'ai rencontré la poésie, elle avait un air bien prétentieux
Elle prétendait qu'avec les mots on pouvait traverser les cieux
J'lui ai dit j't'ai d'jà croisée et franchement tu vaux pas l'coup
On m'a parlé d'toi à l'école et t'avais l'air vraiment relou
Mais la poésie a insisté et m'a rattrapé sous d'autres formes
J'ai compris qu'elle était cool et qu'on pouvait braver ses normes
J'lui ai d'mandé tu penses qu'on peux vivre ensemble ? J'crois qu'j'suis accroc
Elle m'a dit t'inquiète le monde appartient à ceux qui rêvent trop


Puis j'ai rencontré la détresse et franchement elle m'a saoulé
On a discuté vite fait mais rapidement je l'ai r'foulée
Elle a plein d'certitudes sous ses grands airs plein d'tension
Mais vous savez quoi ? La détresse, elle a pas d'conversations

Que ce soir il d'vait diner chez sa d'mi-soeur : la haine
Avant d'partir j'ai pas bien compris, il m'a conseillé d'y croire toujours
Puis s'est éloigné sans s'retourner, c'était mes derniers mots d'amour
J'suis content d'l'avoir connu, ça j'l'ai bien réalisé
Et je sais qu'un d'ces quatre on s'ra amené à s'recroiser

Un peu plus s tard sur mon ch'min j'ai rencontré la tendresse
Ce qui reste de l'amour derrière les barrières que le temps dresse

Un peu plus tard sur mon ch'min j'ai rencontré la nostalgie
La fiancée des bons souvenirs qu'on éclaire à la bougie
Assez tôt sur mon parcours j'avais rencontré l'amitié
Et jusqu'à c'jour, elle marche toujours à mes côtés
Avec elle j'ma tape des barres et on connait pas la routine
Maintenant c'est sûr, l'amitié, c'est vraiment ma meilleure copine

J'ai rencontré l'avenir mais il est resté très mystérieux
Il avait la voix déformée et un masque sur les yeux
Pas moyen d'mieux l'connaitre, il m'a laissé aucune piste
Je sais pas à quoi il r'semble mais au moins j'sais qu'il existe

J'ai rencontré quelques peines, j'ai rencontré beaucoup d'joie
C'est parfois une question d'chance, souvent une histoire de choix
J'suis pas au bout d'mes surprises, là d'sus y'a aucun doute
Et tous les jours je continue d'apprendre les codes de ma route

Un moment sur ma route j'ai rencontré l'amour
J'lui ai dit tiens tu tombes bien, j'veux t'parler d'puis toujours
Dans l'absolu t'es une bonne idée mais dans les faits c'est un peu nul
Tu pars en couille une fois sur deux faudrait qu'tu r'travailles ta formule
L'amour m'a dit écoute petit ça fait des siècles que j'fais mon taff
Alors tu m'parles sur un autre ton si tu veux pas t'manger des baffes
Moi j'veux bien être gentille mais faut qu'chacun y mette du sien
Les humains n'font aucun effort et moi j'suis pas un magicien
On s'est embrouillé un p'tit moment et c'est là qu'j'me suis rendu compte

Que l'amour était sympa mais que quand même il s'la raconte
Puis il m'a dit qu'il d'vait partir, il avait des rendez-vous par centaine

C'était sur une grande route, j'marchais là d'puis des jours
Voire des s'maines  ou des mois, j'marchais là d'puis toujours
Une route pleine de virages, des trajectoires qui dévient
Un chemin unpeu bizarre un peu tordu comme la vie

Mardi 8 avril

Malgré un printemps boudeur, les lumineuses narcisses font la ronde


3 avril 2008 © Monalyz

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Lundi 7 avril

Le magnolia blanc étoilé en fleurs malgré le ciel gris et un temps glacial
 
 3 avril 2008 © Monalyz


Dimanche 6 avril

Le magnolia blanc du Japon et les magnolias roses en pleine floraison, il fait froid pourtant
et le ciel est de plomb

Les magnolias devant le pavillon Joséphine

3 avril 2008 © Monalyz

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Samedi 5 avril

La façade ouest du pavillon Joséphine aux lueurs du crépuscule



Photos 18 mars 2008 © Monalyz

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Vendredi 4 avril

Magie des reflets dans un éclat de soleil

Trois cigognes dans l'arbre - photo 3 avril 2008 © Monalyz

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Jeudi 3 avril

Un rayon de soleil filtre à travers les nuages menaçants
une lumière particulière pare le pavillon Joséphine
de reflets étranges

Un couple de cigognes prépare son nid dans l'arbre       


Pavillon Joséphine - 3 avril 2008 @ Monalyz


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Mercredi 2 avril

Un p'tit tour et puis s'en vont...
Avec les cygnes c'est toujours le même manège

l'un d'un s'approche, me dévisage, plonge pour pêcher

me dévisage une fois encore d'un peu de haut ...
(!?)
puis rejoint son "époux" qui, les ailes gonflées, fait sa parade -> voir mars 2008

28 avril 2008 © Monalyz

Mardi 1er avril

Balade autour du lac sous un soleil printanier

28 avril 2008 © Monalyz